On March 24; 2021 at 6 p.m., a fire decimated more than 500 homes in one of the poorest locations in Freetown. It's at Suzanne's bay. There lived several families in makeshift houses. They are usually people who do not have an official residence. Many of them had come to Freetown fleeing their villages during the years of the war. To survive and support their children, they were doing small business. As if this misery were not enough, the fire came to put an end to the little hope that remained to them.
The story of the young Ibrahim Sorie
Today with one of our students Samuel, I went there to see what had actually happened and which is not talked about too much because of the fight against the Corona virus that occupies all minds. On our arrival, we met the young Ibrahim Sorie, one of the victims of the fire. He was born in Suzanne's bay. With his small business, he managed to build a place to sleep. "With the fire, he had lost everything," he told us. According to his account, the fire broke out at 6pm in the evening while people were still at the market. Thanks be to God, he said, if it were while they were sleeping, they would all have been engulfed by the fire. Being still daylight, people were able to save themselves. So far, until now no person is reported to have died. People have just lost all their homes and all their belongings.
Le drame de Suzanne’s Bay à Freetown
Le 24 Mars à 18h, une incendie a décimé plus de 500 maisons dans un endroit réputé plus pauvre de Freetown. C’est à Suzanne’s Bay. A cet endroit, longeaient plusieurs familles dans des maisons de fortune. Ils sont généralement des gens qui n’ont pas de résidence officielle. Beaucoup d’entre eux étaient venus à Freetown fuyant leurs villages pendant les années de la guère. Pour survivre et faire vivre leurs enfants, ils faisaient du petit commerce. Comme si cette misère ne suffisait pas, le feu est venu mettre fin au peu d’espoir qui leur restait.
Le récit du jeune Ibrahim Sorrie
Aujourd’hui avec un de nos étudiants Samuel, je m’y suis rendu pour voir ce qui s’y était passé effectivement et dont on parle pas trop à cause des préoccupations de la lutte contre le Corona virus qui est dans tous les esprits. A l’arrivée, nous avons rencontré le jeune Ibrahim Sorrie, une des victimes de l’incendie. Il est né Suzanne’s Bay. Avec son petit commerce, il était parvenu à se bâtir une case où dormir. Avec l’incendie, il a tout perdu, nous a-t-il dit. Selon son récit, l’incendie s’est déhanchée à 18h le soir alors que plusieurs habitants du coin étaient encore au marché. Dieu merci, dit-il, si c’était pendant qu’ils dormaient, ils seraient tous engloutis par le feu. Etant encore le jour, les gens avaient pu se sauver. Jusqu’à présent on n’a dénombré aucune victime en vie humaine. Les habitants ont perdu leurs maisons et tous leurs biens.
