Voilà que nous sommes arrivés au temps de Carême, un temps de « mortification » et préparation à Pâques. Notre fondateur nous motive en disant :
« Le monde cherche la félicité et croit de la rejoindre en satisfaisant les passions. Tandis que le Christ montre le secret de la croix, dans le reniement de nous-mêmes, en nous assurant que notre tristesse se changera en joie. On ne s’étonne pas que le monde se mette contre la mortification chrétienne et la raille. Et même l’ancienne sagesse résumait les règles de la vie pratique, de la morale, dans le dicton mémorable, que pour elle était un axiome fondamental : «Vince te ipsum» Même avec la simple lumière de la raison naturelle avait bien compris qu’on ne peut pas être vraiment vertueux sans se rendre supérieurs aux exigences de notre pauvre nature inclinée au mal » (Guido Maria CONFORTI, « Lettre pastorale du carême », Parma, 15 Février 1928).
Je vous rappelle nos prochains rendez-vous après Pâques...
